Un des piliers de la « santé à toutes tailles » (Health At Every Size) est de considérer que chacun.e d’entre nous possède naturellement un « poids de référence » auquel notre corps fonctionne de manière optimale. Mais comment l’atteindre?
Lorsque nous essayons de contrôler, d’ignorer ou de repousser à plus tard nos sensations de faim, nous travaillons en fait CONTRE notre biologie. Et comme toujours, la Nature reprend tôt ou tard ses droits.
Que cache réellement votre besoin de modifier votre apparence ou votre régime alimentaire? Trouverait-il sa source dans le besoin de contrôler une situation incontrôlable?
« Je serai en accord avec moi-même une fois que j’aurai perdu du poids / une peau saine / un nez plus pointu ». Dans ce post, je m’interroge sur les fondements du travail d’acceptation de soi, et si ce dernier nécessite des changements physiques préalables.
En soi, l’IMC n’est pas problématique mais son usage pour indiquer la santé des individus est pernicieuse. Il est temps de démystifier les croyances que nous avons sur l’IMC, car nombreuses d’entre elles sont erronées ou sans réel fondement scientifique.
Être en aménorrhée, c’est soumettre son corps à une sorte de famine. Tenter de retrouver son cycle peut donc être exigeant pour le système digestif, et parfois mener à des soucis de… constipation. Mais rassurez-vous: certains remèdes peuvent vous soulager sans compromettre vos efforts de guérison.
Copyright © 2024 BEYOND Body Image. All rights reserved